Les Lettres DUne Libertine Hôtesse De Caisse Pour Intermarché (1/1)
Jai mis quelques temps à accepter une nouvelle proposition de sortie coquine. En effet, la tournure quavait prise la dernière rencontre avait entamé la confiance aveugle que javais envers mon organisateur préféré.
Nous en avions reparlé brièvement et javais fermement mis les points sur les i : je ne suis pas dune nature soumise et ne recherche pas à évoluer sous la coupe dun maître ou dun mâle dominant.
Lété approchant, le manque de nouveauté sexuelle commença à me titiller jusque dans mes rêves qui devenaient, ainsi, fréquemment érotiques. Je sollicitais donc mon homme pour une sortie coquine mais dans les limites initialement fixées.
Dans les jours qui suivirent, je reçue donc linvitation suivante :
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INVITATION AUX PLAISIRS
Thème : Code barre
Lieu : Sud Charente
Consignes : acrobaties à prévoir, tenue à compléter sur place, test HIV et MST du partenaire OK
Dress-code : Guêpière rose à jarretelles, pas de culotte, escarpins noirs 9 cm, bas fantaisie auto-fixant, robe dété courte facile à retirer, manucure de couleur assortie à la lingerie y compris pieds, PAS de parfum, petits bijoux de fantaisie.
Date et heure : jeudi soir prochain à 19h30. Départ 18h30 du domicile. Temps sur place minuté !
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Cétait intriguant car ces informations ne délivraient rien qui puissent être assemblé ou donner des idées sur le lieu et le scénario à envisager.
La précision nouvelle que des tests HIV et MST avaient été effectués me questionnait. Quattendait-il de moi avec cette information. Car être libertine est une chose mais prendre le moindre risque sanitaire était une voie sur laquelle je ne souhaitais pas membarquer.
Cest donc dans la voiture, sur le route vers mon lieu de plaisirs que jinterrogeais mon organisateur sur le sujet.
Avaler le sperme na jamais été problématique chez moi car japprécie à la fois cet acte dabandon au féminin et les saveurs internes propres à chacun de mes partenaires. Ce qui minterrogeait cétait la succession à envisager ou la quantité possible.
Nous sommes arrivés dans une bourgade à la limite de la Gironde. Je mis mon bandeau sur la requête de mon homme et la voiture alla stationner. Mon homme parlait au téléphone et une voix masculine lui expliquait quil fallait encore un peu de patience, le lieu ne semblant pas encore totalement évacué. Je surpris le terme de « personnel » et de « frigo » sans réussir à comprendre le reste des échanges.
La voiture redémarra près de dix minutes après et roula quelques instants au ralenti. On devait entrer quelque part à proximité du parking.
Puis je fus invitée à sortir et guidée par les mains. Une odeur forte de poisson avarié massaillit et me transperça les narines ! Beurk
pitié, pas une poissonnerie ou le local réfrigéré dun mareyeur.
Puis lodeur sestompa rapidement, et des mains accompagnèrent celles de mon homme directement sur mes fesses, calleuses mais caressantes avec sensualité. Des portes souvrirent et furent refermées avec des tours de verrous. Je dus retirer ma robe sans autres préliminaires et lon me mit une espèce de gilet sans manches par-dessus la guêpière. Puis je fus assise à genoux sur une chaise, face au dossier. Celle-ci était pivotante et à roulettes et je commençais à comprendre la notion dacrobaties qui était incluse dans linvitation.
Une bouche gourmande commença à moffrir des baisers sur le fessier et très rapidement investit ma fente qui navait aucune protection.
Elle venait masser et explorer mes lèvres intimes dans un rythme changeant au gré des secondes, la pointe titillant mon petit bouton à orgasmes de temps à autres, juste pour me faire monter dans les tours. Puis elle glissait jusquà mon anneau de bronze, sy étalait avec une douceur incroyable, tournicotait puis repartait dans la fente en se durcissant et sy ré étalait. Je fondais littéralement et mon partenaire le ressentait bien, adaptant sa technique à ce qui me faisait gémir et tendre ma croupe vers son visage. Il était redoutablement accompagnateur de la montée de la jouissance.
Ma vulve palpita dans un premier orgasme, mes jambes furent parcourues, un bref instant, de tremblements et javais quelques étoiles blanches dans les yeux sous mon bandeau. Excellente entrée en matière et de bonne augure me dis-je.
Puis un très beau membre se présenta à mes lèvres. Je mis alors moi-même de lapplication pour remercier mon mâle du jour dans son savoir-faire, sa façon de percevoir ma montée et maccompagner dans lorgasme. Ma langue sattardât sur la peau des bourses qui était glabre de tout poil, bien détendue, très douce et parfumée comme jaime. Je titillais chacune des glandes comme si je les soupesais de ma langue, évaluant leur potentiel, les calibrant dans le remplissage. Puis je remontais sur la hampe de la verge, avec délicatesse, que jenserrais, massais en my étalant puis reprenant mon chemin gourmand vers le frein du gland.
Je fis quelques allers-retours de la pointe de langue, sur le dessus, avant de me jeter voracement sur le gland que jembouchais. Mon partenaire fut surpris et ne tint pas plus que quelques secondes à mes caresses buccales. Sa verge palpita sous ma langue, je sentis son gland se tendre à son maximum puis le gout délicat de la semence virile envahit mon palais.
Mon partenaire repris sa respiration et je sentis son bas ventre se détendre, les testicules se replaçant dans les bourses, bien en bas. Je poursuivi ma fellation et la verge, un instant plus molle, repris sa vigueur initiale. Mon partenaire était doucereux sucré-salé, sans lonce dune amertume et avec ce doux parfum de morille que jaime bien. Jappréciais en gourmet, que je suis, ce énième gout viril que lon offrait à mes sens.
Je compris alors le sens de notre échange avec mon homme sur la notion « de nombreuses reprises », mon partenaire ayant certainement la rare capacité à éjaculer plusieurs fois durant un rapport sexuel. En effet, il me contourna et sans autre manière il investit mon vagin de son beau membre.
Jétais très disponible, si vous voyez ce que je veux dire. Et il neu aucune difficulté à menvahir jusquà la garde. Il était épais et court ce qui augmentait les sensations sur mes parois sans avoir la douleur de la butée de fond de course.
Il alternait les rythmes et ses allers-retours prenaient parfois la forme de petits cercles qui travaillaient mes lèvres et lintérieur de mon minou, augmentant mon plaisir. Je pensais alors à un homme chocolat dont cest lune des particularités et savoir-faire.
Il moffrit ainsi deux orgasmes, coup sur coup, avec à peine une petite redescente. Javais très envie de lui, de son corps qui venait claquer sur mon fessier, de son membre en moi qui minvestissait pleinement. Une claque dexcitation fusa sur mon fessier, augmentant ma sensation de femme bien prise. Il se servait de la chaise à roulette pour amplifier le va et vient et lui donner de la puissance. Je mécroulais sur le dossier
de plaisir !
Puis mes deux hommes me firent changer de position, maidèrent à grimper sur un rebord saillant et mallongèrent, sur le dos, au contact dune matière pas trop froid et caoutchouteuse.
Puis mon partenaire vint se positionner à cheval sur mon ventre et cracha (au sens littéral) sur ma poitrine après avoir libéré mes seins se leur prison de tissu. Il positionna sa verge entre les deux globes quil maintenait tendu en les compressant. Sa verge prise en sandwich coulissa dans cet orifice artificiel. De nouveau des crachats et les allers-retours prirent leur rythme de croisière. Un coussin me fut proposé par mon homme, positionnant ainsi ma bouche à portée de la verge. Avec ma langue et mes lèvres je formais comme un réceptacle pour recevoir, de temps à autres, son gland en fin de course du mouvement.
Cela formait un petit bruit de clapotis érotique, mêlé à une respiration saccadée et bruyante du mâle qui monte cérébralement vers son orgasme. Puis ma bouche, mes narines furent envahies de sperme, de cette odeur si forestière à mon sens, presquoriginelle. Jouvrais grand la bouche pour en recevoir le plus possible sur ma langue. De nouveau cette quantité incroyable, comme sil navait pas joui depuis plusieurs jours.
Un doigt pris soin de tout racler vers ma bouche, remontant les coulures depuis mes joues, voire ma nuque vers ma bouche et moffrir lintégralité du don viril. Celui-ci était encore meilleure que la première fois, onctueux et dun gout plus subtil de musc animal.
On me releva sans plus attendre, et je fus mise à genoux. Le sexe à peine moins dur me réinvestit. Je peux dire que les minutes qui suivirent furent intenses. Les deux corps claquaient fortement lun contre lautre, jétais marteau-pilonnée et le gras du postérieur subissait une pluie de claque dexcitation et mes oreilles une pluie de mots orduriers.
Si je subissais ? Oui bien sur ! Mais létrange sensation dêtre sa femelle ne me déplaisait finalement pas du tout. Je comprenais aisément sa montée dexcitation, sa tension de mâle en rut qui saccouple avec une femelle qui montre sa disponibilité. Car jétais très disponible ce jour là et mon envie devait se ressentir ?
cest non davance ! ».
Depuis, je repense souvent à mon chef de rayon. A écrire ces mots, jai le souvenir ému de son goût qui me monte en bouche. Un vrai plaisir !
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